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CAMERON (+) Ne m'appelle pas "Mon Dieu", ça me gêne.

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L. Cameron Prescott
est tout bien bronzé !
Would you be my Valentine ?
L. Cameron Prescott
Fiche RPG
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A Hawaii depuis: juin 2012
Lieu de résidence: #303 Malua Drive, Alewa Heights
Statut civil: Profondément torturé. Et si c'était lui qu'il fallait ?
Infos de baseDouble(s) compte(s) : Maïke, Chelsie, Axelle, Lewis, Ezra, Evdokya & Elliot
Messages : 172
Date de naissance : 31/01/1983
Age : 41
Avatar : Ian Somerhalder
Emploi : Pilote d'avion de ligne

MessageSujet: CAMERON (+) Ne m'appelle pas "Mon Dieu", ça me gêne. CAMERON (+) Ne m'appelle pas "Mon Dieu", ça me gêne. EmptyMar 28 Oct - 22:49


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L. Cameron Prescott
I tried to carry the weight of the world, but I only had two hands
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Bonjour ! Moi c'est Lloyd Cameron Prescott. Puisque je suis né le trente-et-un janvier mille neuf cent quatre-vingt-trois à Vancouver, Canada, j'ai trente-et-un ans et je suis Canadien. Pour gagner ma vie, je suis pilote d'avion de ligne, et ça me convient très bien, ou pas. Actuellement, je suis célibataire et je vis avec comme je peux. J'appartiens au groupe Aʻohe Kahi e Peʻe Ai et on me dit bien souvent que je ressemble à Ian Sex' Somelhalder et franchement, ça me fait trop rougir !
Drôle, spontané, rusé, peu complexé, minutieux, affectueux, arrogant, impulsif, rancunier, violent, perfectionniste, immature (+) Il s'est installé à Hawaii en juin 2012 (+) Lloyd était le prénom qu'il utilisait jusqu'à ses quatorze ans. Cameron est vraiment son second prénom qu'il a fait passer au premier plan. (+) Il ne boit pas de vin ou de bière, il préfère de loin la liqueur forte. (+) Il fume seulement lorsqu'on lui propose une cigarette. Autrement, il n'en achète pas pour lui-même. (+) Il est un bisexuel inavoué; il couche à gauche et à droite avec des femmes qu'il drague bien souvent dans les avions pour oublier son attirance pour les hommes. (+) Il est très affectueux; il adore le contact physique et donner des câlins aux gens, même si ça peut paraître mal placé. (+) Il a travaillé comme valet dans un hôtel pendant cinq ans pour payer ses études afin de devenir pilote. (+) Il ne pratiquerait aucun autre métier au monde, il adore la sensation de liberté que voler lui procure.


Moi en hors-jeu
Salut les gens ! Alors moi, en vrai, mon nom c'est Marilyne, mais sur Internet, on me connait mieux sous le nom de Mayiie. J'ai maintenant vingt-trois ans et toutes mes dents, et si je suis arrivé(e) ici, c'est parce que j'ai trouvé le forum dans ma tête. Pour le moment, je pense que c'est le meilleur forum du monde 01 et je vous fais la promesse que je vais être ici environ tout le temps que je suis devant mon ordi, voire plus. Finalement, je crois bien avoir lu le règlement puisque Code OK par moi-même Cool et sinon Je vous aime très fort ! coeur


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<t>Ian Somerhalder</t> ∞ [i]L. Cameron Prescott[/i]
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MessageSujet: Re: CAMERON (+) Ne m'appelle pas "Mon Dieu", ça me gêne. CAMERON (+) Ne m'appelle pas "Mon Dieu", ça me gêne. EmptyMar 28 Oct - 22:49


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This is my story
Take me back to a new start and fix me
« Lloyd ! Ramène ton cul ici ! » Enfermé dans ma chambre, je soupirai, mais je ne bougeai pas. Ça ne servait à rien de faire quoi que ce soit. Pourquoi je me forcerais à faire quelque chose pour elle alors qu’elle ne faisait clairement rien pour moi ? Elle n’avait jamais rien fait pour moi, sauf hurler comme une malade et même griffer mon père – selon ses dires – quand elle m’avait mise au monde. Au départ, je ne me rendais pas compte de sa flemmardise, de son manque d’amour maternel, parce que mon père comblait cela aisément, mais maintenant qu’il était parti, il y avait un vide en moi que je ne savais pas combler sauf avec de la colère. Encore là, ça ne servait à rien, je restais toujours le même; renfermé, solitaire, colérique, turbulent. Elle s’en foutait, et c’est pour cela que c’était une première qu’elle demande à me voir, me parler. Elle devait probablement avoir reçu le message comme quoi j’avais été suspendu pour une durée indéterminé du collège. Encore là, c’était surprenant qu’elle réagisse, puisque ce n’était pas la première fois, et elle s’en était toujours moquée, ne réalisant pas que c’était sa faute, que c’était parce qu’elle était une mère pourrie que je faisais tout ça. Ce n’était pas ma faute, c’était la sienne, tout simplement. « Lloyd ! Je t’ai dit de descendre ! » Déterminée à ne plus l’entendre gueuler, je roulai les yeux au ciel, et je finis par descendre les marches deux à deux pour me planter devant elle et lui dire, agacé : « Quoi ?! » « T’as été viré du collège !? » Je haussai nonchalamment les épaules, la laissant alors poursuivre tandis qu’elle ajoutait : « Merde, Lloyd ! Maintenant va falloir que je te paie plus de bouffe vu que tu vas squatter à la maison. T’es capable de rien faire d’autre ! » « C’est juste ça qui t’emmerde ? Si tu veux, j’ai juste à aller manger des burgers à chaque jour, je m’en fous moi ! » « Ça va coûter encore plus cher. » « Ouais, c’est ça, comme si tu savais tout ça… » « Je te demande pardon ? » Un nouveau soupir s’échappa de ma bouche. Je détestais quand elle tentait de prétendre avoir un peu d’autorité sur moi, et je n’avais pas envie de faire l’enfant obéissant, plus maintenant. Je lui dis alors : « Tu ne sais rien, et tu ne sers à rien ! Regarde la vérité en face, tu es contente que j’aille en cours juste parce que « ça te coûte moins cher en bouffe » ! » « C’est pas comme si tu étais vraiment utile dans cette maison ! T’en fous pas une, t’es un bon à rien ! » « Non, c’est toi la bonne à rien et l’emmerdeuse de première ! J’en ai marre, je me casse. » Tandis que je tournais les talons, je l’entendis éclater de rire, comme si mes menaces étaient superflues. Elles ne l’étaient pas. Voilà maintenant plusieurs semaines que j’y songeais, que je me préparais, et maintenant, c’était assez, je n’allais pas la supporter un jour de plus. Je remontai alors à ma chambre, verrouillant la porte sans penser à rien ni personne sauf moi-même. Dans un sac de sport, je mis des vêtements, l’argent que j’avais piqué dans sa chambre au fur et à mesure, vu qu’elle était trop débile pour s’en rendre compte, et le billet de bus que j’avais acheté il y a quelque temps. Patiemment, j’entendis que tout le monde dorme dans la demeure – ma mère et ma petite sœur, mais cette dernière, c’était un jeu d’enfant, suffisait juste de lui donner un verre de lait chaud – et je pris la porte, marchant vers une nouvelle vie en ne regrettant pas du tout le passé, en me disant qu’être sans-abri ne pourrait pas être pire que ce que je vivais sous ce toit. Peut-être pourrais-je même me remettre de la mort de mon père, je n’en savais rien, mais je faisais la bonne chose à ce moment précis, j’en étais certain.

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Six heures. Un bourdonnement se fait entendre sur la table de nuit, le bourdonnement typique d’un téléphone qui vibre soit après avoir reçu un appel, ou message, ou simplement pour servir de réveil-matin. Dans mon cas, c’était la troisième option qui s’appliquait. Paresseusement, j’approchai ma main de la table de nuit, mais je m’y pris du mauvais sens. J’avais oublié pendant un instant que je n’étais pas dans ma chambre et surtout, je n’étais pas seul. Je m’en rendis compte seulement lorsque j’entrai en contact avec une masse chaude qui était trop douce pour être mon téléphone. J’ouvris les yeux, et je découvris que quelqu’un dormait, me faisant dos, comme si nous avions dormi dans les bras l’un de l’autre toute la nuit. Ça, à la limite, c’était normal, mais ce qui ne l’était pas, ce fut lorsque je relevai la tête, et que je vis que ce n’était pas une énième fille que j’avais ramené après un vol, mais un homme. Le comble ? Ce n’était pas n’importe lequel, c’était mon frère d’adoption, Camille. Ne me souvenant pas trop de la nuit précédente, j’espérais sincèrement que c’était un malentendu, que ma tendance à être affectueux m’avait joué des tours, mais en me relevant, quand je vis que nos vêtements respectifs trainaient çà et là dans la chambre, je ne pus m’empêcher de m’imaginer le pire. Tout commença alors à me revenir, et je dus faire mon possible pour ne pas hurler et alerter Camille par la même occasion. Tout ce qui sortit de ma bouche, ce fut un « Oh merde… » qui voulait tout dire. Puis, j’enfilai mon caleçon, et je me rendis à la salle de bains. Après être demeuré de longues secondes devant le miroir sans bouger, ne sachant pas quoi faire, un idée me frappa; je devais partir, ne serait-ce que quelque temps, histoire de décanter tout cela. Il est certain que ce départ me faisait plus mal que j’ai connu environ dix ans auparavant, bientôt quinze, mais je n’avais pas le choix, je ne pourrais jamais regarder Camille, ma famille en face sans cacher ce qui s’était passé. Je regardai l’heure. Il me restait peu de temps pour me préparer. J’enfilai mon costume de pilote, métier que je pratiquais depuis maintenant quatre ans après avoir payé moi-même mes études en travaillant comme valet, puis je mis toutes mes affaires dans ma valise, regardant une dernière fois derrière moi avant de refermer la porte de cette chambre d’hôtel bon marché on ne peut plus troublé, ne comprenant toujours pas tout ce qui avait pu se passer. J’espérais simplement que ce départ allait aider à remettre mes idées en place, même si je sentais que j’aurais du mal à m’en remettre très facilement, peu importe si j’étais à l’autre bout du monde ou pas.
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