Infos de baseDouble(s) compte(s) : Il n'y a que moi dans ma tête, et c'est bien assez. Messages : 116 Emploi : Être omniprésent.
Sujet: INTRIGUE - Fidjï P. Burke & Lauryn K. Sullivan Dim 11 Oct - 16:59
Fidji & Lauryn
Take my hand
Date du RP: dimanche 20 septembre Moment de la journée: après-midi Lieu précis du RP: dans la rue Thème imposé: La vague s'est déversé à grande vitesse sur l'île, malgré l'annonce, certains n'ont pas eut le choix de sortir de chez eux et ils se retrouvent maintenant coincés dans la ville, impuissant. Lauryn est l'une d'entre elle, croyant pouvoir atteindre sa maison avant la montée des eaux, elle se retrouve alors prise au piège dans sa voiture. Heureusement, cela semble être un lieu sur comparé à ce qui se joue de l'autre coté des fenêtres. Fidji quant à elle est bloqué à l'extérieure sans issu. Il faut se serrer les coudes lors de ce genre de catastrophe et devant ce spectacle, Lauryn tendra-t-elle la main à cette jeune fille perdue ? Réussiront-elles à s'en sortir indemne ? En espérant que la voiture soit un habitacle suffisant pour la tempête qui se prépare.
Lauryn K. Sullivan
est tout bien bronzé !
Would you be my Valentine ?
Fiche RPG Fiche RPG A Hawaii depuis: quelques mois Lieu de résidence: Appartement #1213 / Hôtel Statut civil: Officiellement divorcée depuis le 12.09.15
Infos de baseMessages : 280 Date de naissance : 28/01/1981 Age : 43 Avatar : Jennifer Morrison Emploi : Institutrice en maternelle
Sujet: Re: INTRIGUE - Fidjï P. Burke & Lauryn K. Sullivan Sam 24 Oct - 17:02
Take my hand
Évidemment, Lauryn avait entendu les nouvelles météorologiques catastrophiques qui étaient annoncées. Évidemment, comme chacun, elle n’y avait pas tellement cru… Pourtant, ce matin-là quand, les yeux encore pleins de sommeil, elle s’était glissée sur son hamac pour boire son café en fumant sa cigarette, elle avait pu constater que les météorologistes ne s’étaient sans doute pas trompés. Un océan de nuage noir aux nuances vertes couvrait le ciel habituellement turquoise. Elle avait déglutit. Elle n’y avait tellement pas cru, à cette annonce de tempête, qu’elle n’avait bien sûr pas acheté les bases de « survie ». Soit une trousse de secours, des réserves d’eau et un minimum de nourriture, si l’orage se prolongeait. Après son « petit-déjeuner » qui consistait en une grande tasse de café, une pomme et deux cigarettes, elle s’était dépêchée d’enfiler son jeans, un débardeur et son blouson en cuir. Elle s’était ensuite rapidement enfilée dans sa voiture pour rejoindre le centre, où elle trouverait une pharmacie et un supermarché.
« Chers auditeurs, si vous avez eu l’intelligence de vous planquer chez vous, restez-y ! La tornade approche de plus en plus de notre petit coin de paradis, et il vous faudra être bien à l’abris au cas où elle frapperait la côte. Nous vous recommandons de couper toutes alimentations de gaz ou d’électricité chez vous et de vous tenir soit au sous-sol de votre maison, soit au rez. Restez éloignés des fenêtres et restez à l’écoute de One’s FM. Nous vous tiendrons informés de l’avancée de cette terrible catastrophe ! » Lauryn tapa rageusement sur le volant de sa petite voiture. Quelle conne ! Elle ne pouvait s’empêcher de ne jamais croire la météo, pour la simple et bonne raison que, d’après elle, ils se trompaient toujours. Pff. Elle aurait mieux fait d’y croire. Au pire, ils se seraient trompés et elle aurait eu une réserve de légumes en conserve dans son appartement… Pourquoi fallait-il toujours qu’elle prenne cela à la légère ?
Après avoir tourné en rond pendant quelques minutes, elle trouva un endroit ou se parquer. Une terrible rafale de vent s’engouffra dans la rue, emportant avec elle déchets et brindilles. Lauryn sortit de la voiture et leva les yeux. Le ciel était si noir qu’elle en eu des frissons. Jamais elle n’aurait le temps de retourner à l’hôtel pour s’y réfugier. D’une allure rapide, elle marcha le long du bâtiment le plus proche en espérant atteindre la pharmacie au plus vite. Elle avait beau se rendre compte que jamais elle ne serait en mesure de se mettre réellement en sécurité, elle espérait encore. Les rues étaient désertes, ou presque.
Elle sortit de ses pensées en arrivant devant la pharmacie. L’échoppe était éclairée, mais les rafales de vents étaient si violentes qu’ils refusèrent d’ouvrir les portes pour la laisser entrer. Elle jura en donnant un énorme coup de pied contre la vitre. Elle fourra ses mains dans ses poches et tenta de réfléchir rapidement. Non seulement, elle était en plein milieu d’une rue marchande où il était maintenant évident que personne ne l’aiderait à se réfugier, mais en plus, jamais elle n’aurait le temps de retourner à son « domicile ». Elle regarda autour d’elle. Elle se sentait complètement larguée.